Charles Dreyfus (à gauche) et son fils,Michel,chez lui,à Boulogne-Billancourt,le 27 février 2025. TERENCE BIKOUMOU POUR M LE MAGAZINE DU MONDE Dans son appartement de Boulogne-Billancourt,près de Paris,Charles Dreyfus conserve de nombreux souvenirs. Sa bibliothèque bilingue raconte la première partie de sa vie aux Etats-Unis,avec son père,Pierre Dreyfus,et sa mère,Marie Baur,tous deux juifs ayant fui la guerre pour New York en 1942. Au mur,une magnifique photo de la ville-monde attire le regard et l’homme de 97 ans,toujours droit dans son costume brun,sourit en la regardant.
« J’ai beaucoup aimé New York,où je suis arrivé pendant la guerre et où j’ai fait en partie mes études d’ingénieur,et,si ma femme pianiste n’avait pas voulu venir en France dans les années 1960,j’y serais encore »,raconte Charles Dreyfus,qui défend sans relâche l’honneur de son grand-père Alfred Dreyfus,auquel le Musée d’art et d’histoire du judaïsme (MAHJ),à Paris,consacre une grande exposition du 13 mars jusqu’au 31 août.
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Alors qu’il s’apprête à publier ses premiers résultats annuels, celui qui est devenu PDG à l’été 2024 veut faire de son groupe, né il y a trois cent soixante ans, le champion mondial des matériaux de construction bas carbone.
Les syndicats et le patronat démarrent, jeudi 27 février, à la demande de François Bayrou, des négociations visant à amender le texte controversé. Mais le cap fixé par le premier ministre d’un rétablissement de l’équilibre financier du système est jugé trop prescriptif par certaines organisations de salariés.
Le jeune homme est mort dans la ZAD du barrage de Sivens, dans le Tarn, après le jet d’une grenade, en 2014. La Cour européenne des droits de l’homme estime que le gouvernement a failli à ses obligations de maintien de l’ordre
Le gouvernement relance le projet de loi sur la simplification de la vie des entreprises, qui va être examiné en avril à l’Assemblée. Une façon de montrer qu’il maintient une politique probusiness malgré les hausses d’impôts en 2025.