La présidente du conseil italien,Giorgia Meloni,aux côtés du président américain,Donald Trump dans le bureau Ovale de la Maison Blanche,à Washington,le jeudi 17 avril 2025. BRENDAN SMIALOWSKI / AFP La visite tant attendue de Giorgia Meloni à son « allié » américain a abouti à des résultats en demi-teinte,dans une atmosphère un brin crispée. « Je suis ici pour rendre l’Occident plus fort »,avait déclaré l’invitée italienne avant son entretien avec Donald Trump à la Maison Blanche,jeudi 17 avril. La présidente d’extrême droite du conseil italien était la première dirigeante européenne à se rendre à Washington depuis le « Liberation Day » de Donald Trump,le 2 avril,qui a lancé sa politique commerciale agressive.
Dirigeante du troisième pays européen exportateur vers les Etats-Unis,avec près de 50 milliards d’euros de biens vendus chaque année aux Américains,Giorgia Meloni venait travailler ses relations avec Washington avec,en toile de fond,le décompte des quatre-vingt-dix jours pour négocier un accord commercial avec l’Union européenne.
Certes,le président des Etats-Unis s’est dit sûr « à 100 % » qu’un accord sur les droits de douane avec l’Europe serait conclu,« mais un accord juste »,a-t-il précisé,alors que son équipe fustige les barrières non tarifaires européennes. Désireuse de faire le « pont » entre les deux rives de l’Atlantique,Giorgia Meloni n’a cependant pu annoncer d’autre avancée qu’une possible visite de Donald Trump en Italie pour négocier avec l’Union européenne (UE). Une annonce en solitaire,qui n’a pas déclenché l’entrain ni même un début de confirmation de la part de son hôte.
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