Emmanuel Macron,lors de la commémoration du centenaire de l’ouverture de la Grande Mosquée,à Paris,le 19 octobre 2022. LUDOVIC MARIN/POOL VIA REUTERS Le rapport intitulé « Frères musulmans et islamisme politique en France »,débattu lors d’un conseil de défense et de sécurité nationale,mercredi 21 mai,est présenté par l’Elysée comme le troisième volet de la lutte contre l’islam radical,lancée par le président de la République depuis sa première élection,en 2017.
Après le vote de la loi renforçant la sécurité intérieure et la lutte contre le terrorisme,en 2017,puis l’adoption,en 2021,de la loi confortant le respect des principes de la République (dite « loi contre le séparatisme »),le temps est à la lutte contre l’« entrisme islamiste » mené par les Frères musulmans. Ce mouvement,né en Egypte,en 1928,adopterait des tactiques de « dissimulation »,visant à « conquérir les instances de pouvoir » de la République « par le bas » – « les associations et les municipalités » – pour mieux imposer à la France,de l’intérieur,les règles de vie édictée par la charia (loi islamique),expliquait-on à l’Elysée,la veille de la publication du document de 75 pages. Et d’ajouter : « Ce rapport vise à faire connaître la menace au grand public et aux élus locaux avec l’échéance des élections municipales de 2026 (…). Et à mieux l’identifier et à la documenter pour mieux l’entraver. »
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