Eric Lombard,ministre de l’économie et des finances,alors directeur général de la Caisse des dépôts et consignations,lors d’une conférence de presse,à Paris,le 11 avril 2019. ERIC PIERMONT/AFP Impossible d’échapper aux critiques quand on est le premier investisseur institutionnel français avec 323 milliards d’euros d’actifs financiers gérés,issus entre autres de l’épargne déposée sur les Livrets A,les Livrets développement durable et solidaire et les Livrets d’épargne populaire (LEP). A fortiori quand on a été dirigé pendant sept ans (2017-2024) par l’actuel ministre de l’économie,Eric Lombard.
L’organisation non gouvernementale (ONG) Reclaim Finance met ainsi en cause la Caisse des dépôts et consignations (CDC) dans un rapport publié mardi 15 avril,en lui reprochant entre autres un « grand manque de transparence » sur la composition de son portefeuille d’investissements et « l’opacité » de son action climatique.
La CDC « ne publie ni la liste des entreprises détenues dans ses portefeuilles d’actions et d’obligations,ni le détail de ses votes en assemblées générales pour les entreprises dont elle est actionnaire,souligne Reclaim Finance. En tant qu’institution publique,il est pourtant attendu de la CDC qu’elle rende des comptes sur ses pratiques aux citoyens ».
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Alors qu’il s’apprête à publier ses premiers résultats annuels, celui qui est devenu PDG à l’été 2024 veut faire de son groupe, né il y a trois cent soixante ans, le champion mondial des matériaux de construction bas carbone.
Les syndicats et le patronat démarrent, jeudi 27 février, à la demande de François Bayrou, des négociations visant à amender le texte controversé. Mais le cap fixé par le premier ministre d’un rétablissement de l’équilibre financier du système est jugé trop prescriptif par certaines organisations de salariés.
Le jeune homme est mort dans la ZAD du barrage de Sivens, dans le Tarn, après le jet d’une grenade, en 2014. La Cour européenne des droits de l’homme estime que le gouvernement a failli à ses obligations de maintien de l’ordre
Le gouvernement relance le projet de loi sur la simplification de la vie des entreprises, qui va être examiné en avril à l’Assemblée. Une façon de montrer qu’il maintient une politique probusiness malgré les hausses d’impôts en 2025.