Emmanuel Finkiel à Beverly Hills (Californie),en novembre 2018. VALÉRIE MACON/AFP Après Voyages (1999) et La Douleur (2017),le réalisateur Emmanuel Finkiel poursuit,avec La Chambre de Mariana,adapté de l’écrivain israélien Aharon Appelfeld,son exploration de la seconde guerre mondiale et de ses traumas,à travers l’histoire d’une prostituée ukrainienne qui,dès 1942,cache un enfant juif. Le cinéaste revient non sans fébrilité sur ce passé douloureux et sur cette époque actuelle qui le laisse intranquille.
Il vous reste 75.73% de cet article à lire. La suite est réservée aux abonnés.
Alors qu’il s’apprête à publier ses premiers résultats annuels, celui qui est devenu PDG à l’été 2024 veut faire de son groupe, né il y a trois cent soixante ans, le champion mondial des matériaux de construction bas carbone.
Les syndicats et le patronat démarrent, jeudi 27 février, à la demande de François Bayrou, des négociations visant à amender le texte controversé. Mais le cap fixé par le premier ministre d’un rétablissement de l’équilibre financier du système est jugé trop prescriptif par certaines organisations de salariés.
Le jeune homme est mort dans la ZAD du barrage de Sivens, dans le Tarn, après le jet d’une grenade, en 2014. La Cour européenne des droits de l’homme estime que le gouvernement a failli à ses obligations de maintien de l’ordre
Le gouvernement relance le projet de loi sur la simplification de la vie des entreprises, qui va être examiné en avril à l’Assemblée. Une façon de montrer qu’il maintient une politique probusiness malgré les hausses d’impôts en 2025.