Le premier ministre japonais,Shigeru Ishiba,à Tokyo,le 13 janvier 2025. JIJI PRESS/AFP La décision du président des Etats-Unis,Joe Biden,de bloquer l’acquisition du géant américain de l’acier US Steel par son homologue japonais,Nippon Steel,n’en finit pas d’agiter les milieux diplomatiques et judiciaires. Le monde des affaires n’est pas en reste. Flairant le bon coup,Lourenco Goncalves,le bouillant PDG du sidérurgiste américain Cleveland-Cliffs,s’est dit prêt,dimanche 12 janvier,à acquérir US Steel. Pour lui,le Japon est « pire que la Chine »,et Cleveland-Cliffs est la seule entreprise capable de protéger la sécurité nationale des Etats-Unis.
L’homme d’affaires n’a jamais caché son intérêt pour US Steel,mais le géant de Pittsburgh (Pennsylvanie) lui a préféré le sidérurgiste nippon. Ce qu’il n’a,semble-t-il,pas digéré. Il cherche à profiter de l’imbroglio né après le blocage,le 3 janvier,du projet nippo-américain,qui a suscité un tollé de part et d’autre du Pacifique. Le 13 janvier,le premier ministre japonais,a demandé des éclaircissements au président américain,dont le positionnement reste flou – il a bloqué le projet mais a autorisé la prolongation,jusqu’au 18 juin,du délai d’un mois imparti aux deux sidérurgistes pour mettre fin à leur rapprochement.
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Interpellés lundi 24 février dans la soirée, deux physiciens, âgés de 48 et 59 ans, avaient jeté trois bouteilles d’azote. Ils ont été condamnés, jeudi, pour « tentative de dégradation par un moyen dangereux » et « fabrication d’engins explosifs ».
Pour parvenir à relocaliser l’essentiel de sa production, la maison d’horlogerie alsacienne a investi 250 000 euros afin de moderniser son atelier et a augmenté fortement ses prix de vente.
Régulièrement, des postulants à l’ENM se voient éconduits par le ministère de la justice alors qu’ils ont réussi le concours. Souvent pour des faits anciens et peu graves, sans que l’administration n’ait à rendre compte de ses critères de sélection.
Le vice-président J. D. Vance a mis en garde contre une « réglementation excessive » de l’IA, notamment dans l’Union européenne. En réponse, Emmanuel Macron et Ursula von der Leyen ont plaidé pour une « troisième voie », tout en vantant leurs investissements dans le secteur.