Le président américain,Donald Trump,avec Larry Ellison,cofondateur d’Oracle,Masayoshi Son,PDG de SoftBank,et Sam Altman,PDG d’OpenAI,à la Maison Blanche,à Washington,le 21 janvier 2025. CARLOS BARRIA / REUTERS Joe Biden mettait en scène les investissements en faveur des microprocesseurs et de la transition énergétique. Donald Trump le fait avec l’intelligence artificielle (IA). Au lendemain de son investiture,le nouveau président américain a annoncé,en direct de la Maison Blanche,mardi 21 janvier,un investissement considérable dans l’IA nommé « Stargate ». Cent milliards de dollars (96 milliards d’euros) déboursés immédiatement,qui devraient être portés à 500 milliards de dollars dans les quatre prochaines années,seront destinés à bâtir l’infrastructure alimentant la prochaine génération d’avancées en matière d’IA,essentiellement d’immenses centres de données et le système énergétique les alimentant.
Le projet est porté par OpenAI,la firme qui a lancé ChatGPT fin 2022,la société d’investissement japonaise SoftBank et le géant du numérique Oracle. Leurs dirigeants étaient présents à la Maison Blanche : Sam Altman (OpenAI),Masayoshi Son (SoftBank) et Larry Ellison,fondateur d’Oracle,quatrième fortune américaine.
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Interpellés lundi 24 février dans la soirée, deux physiciens, âgés de 48 et 59 ans, avaient jeté trois bouteilles d’azote. Ils ont été condamnés, jeudi, pour « tentative de dégradation par un moyen dangereux » et « fabrication d’engins explosifs ».
Pour parvenir à relocaliser l’essentiel de sa production, la maison d’horlogerie alsacienne a investi 250 000 euros afin de moderniser son atelier et a augmenté fortement ses prix de vente.
Régulièrement, des postulants à l’ENM se voient éconduits par le ministère de la justice alors qu’ils ont réussi le concours. Souvent pour des faits anciens et peu graves, sans que l’administration n’ait à rendre compte de ses critères de sélection.
Le vice-président J. D. Vance a mis en garde contre une « réglementation excessive » de l’IA, notamment dans l’Union européenne. En réponse, Emmanuel Macron et Ursula von der Leyen ont plaidé pour une « troisième voie », tout en vantant leurs investissements dans le secteur.