A Orvault (Loire-Atlantique),le 13 mars 2024. STÉPHANE MAHÉ / REUTERS Dans un marché de l’ameublement et de la décoration pénalisé par les arbitrages de consommation des ménages et après le dépôt de bilan de l’enseigne Casa en Belgique,le 5 mars,tous les regards étaient tournés sur l’état de santé de Maisons du monde,l’enseigne qui avait annoncé,à la fin de janvier,la suppression de 91 emplois dans ses sièges de Paris et Nantes.
« Est-ce qu’en pleine transformation,on est capable de flotter ? La réponse est oui »,a lancé François-Melchior de Polignac,son directeur général lors de la présentation des résultats annuels,dévoilés mardi 10 mars. Détenue à 55 % par les fonds d’investissement Teleios Capital Partners et Majorelle Investments et cotée en Bourse,Maisons du monde ne sera pas le prochain Habitat – mis en liquidation en décembre 2023,avant que la marque soit relancée en 2024 –,assure le dirigeant.
Sur le papier pourtant,les chiffres ne plaident pas en faveur d’un scénario optimiste : les ventes du groupe,présent dans 10 pays – essentiellement en Europe continentale –,ont chuté de 10,2 % à périmètre de magasin comparable (− 11,2 % au total) en 2024,à 1 milliard d’euros. Et son résultat,en chute libre depuis deux ans,a basculé dans le rouge : une perte de 115,3 millions d’euros,contre un bénéfice net de 8,8 millions d’euros en 2023,accentuée par des éléments comptables exceptionnels.
Il vous reste 68.08% de cet article à lire. La suite est réservée aux abonnés.
Interpellés lundi 24 février dans la soirée, deux physiciens, âgés de 48 et 59 ans, avaient jeté trois bouteilles d’azote. Ils ont été condamnés, jeudi, pour « tentative de dégradation par un moyen dangereux » et « fabrication d’engins explosifs ».
Pour parvenir à relocaliser l’essentiel de sa production, la maison d’horlogerie alsacienne a investi 250 000 euros afin de moderniser son atelier et a augmenté fortement ses prix de vente.
Régulièrement, des postulants à l’ENM se voient éconduits par le ministère de la justice alors qu’ils ont réussi le concours. Souvent pour des faits anciens et peu graves, sans que l’administration n’ait à rendre compte de ses critères de sélection.
Le vice-président J. D. Vance a mis en garde contre une « réglementation excessive » de l’IA, notamment dans l’Union européenne. En réponse, Emmanuel Macron et Ursula von der Leyen ont plaidé pour une « troisième voie », tout en vantant leurs investissements dans le secteur.