Lors de la campagne de vaccination contre la méningite à la Rennes School of Business,l’école de commerce où plusieurs cas ont été détectés,le 3 mars 2025. THOMAS BRÉGARDIS / MAXPPP / PHOTOPQR / OUEST-FRANCE Zélie est un peu anxieuse en attendant son injection de vaccin contre le méningocoque B. L’adolescente de 16 ansa entendu parler sur les réseaux sociaux de la mort d’une femme de 18 ans des suites d’une méningite provoquée par la bactérie,le 3 février,dans la métropole rennaise. Elle n’a donc pas longtemps hésité quand un centre de vaccination a ouvert dans son établissement,le lycée Bréquigny,dans le sud de Rennes,jeudi 13 mars. « Ça me rassure,comme ça,j’aurai moins de risque d’être touchée »,confie-t-elle.
A quelques pas d’elle,devant les cinq box d’injection drapés de rideaux noirs,Léopold,17 ans,raconte avoir été convaincu par un de ses professeurs. « Je suis plutôt motivé,mourir en l’espace de quelques jours,ça fait peur »,souffle-t-il. Un peu plus loin,dans la salle de surveillance post-injection,Paul,sourire aux lèvres,attend les quinze minutes réglementaires avant de partir. Comme lui,tous ses amis veulent se faire vacciner,pour ne pas risquer d’attraper cette « maladie dangereuse qui attaque le cerveau ». « Et puis,la vaccination,c’est important,on l’a vu en cours de SVT il y a quelques années »,rappelle-t-il.
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Interpellés lundi 24 février dans la soirée, deux physiciens, âgés de 48 et 59 ans, avaient jeté trois bouteilles d’azote. Ils ont été condamnés, jeudi, pour « tentative de dégradation par un moyen dangereux » et « fabrication d’engins explosifs ».
Pour parvenir à relocaliser l’essentiel de sa production, la maison d’horlogerie alsacienne a investi 250 000 euros afin de moderniser son atelier et a augmenté fortement ses prix de vente.
Régulièrement, des postulants à l’ENM se voient éconduits par le ministère de la justice alors qu’ils ont réussi le concours. Souvent pour des faits anciens et peu graves, sans que l’administration n’ait à rendre compte de ses critères de sélection.
Le vice-président J. D. Vance a mis en garde contre une « réglementation excessive » de l’IA, notamment dans l’Union européenne. En réponse, Emmanuel Macron et Ursula von der Leyen ont plaidé pour une « troisième voie », tout en vantant leurs investissements dans le secteur.