Dans un atelier de couture à Guangzhou,dans le sud de la Chine,le 20 février 2025. PEDRO PARDO / AFP La mise en place de barrières douanières aux Etats-Unis – suspendue pour 90 jours par Donald Trump,à l’exception d’une taxe de 10 % pour tous les pays,sauf la Chine,visée par 125 % de droits – fait trembler l’industrie mondiale de l’habillement et,notamment,européenne. Si les marques françaises de prêt-à-porter redoutent les conséquences d’une taxation supplémentaire de 20 % de leurs collections outre-Atlantique,elles craignent également un afflux en Europe de marchandises d’origine asiatique :pour compenser la baisse probable des ventes de leurs produits aux Etats-Unis,en raison du relèvement des droits de douane imposés par Washington,les industriels du Vietnam,du Cambodge ou du Bangladesh pourraient davantage se tourner vers l’Europe.
Confrontés à la baisse structurelle de la consommation de vêtements en Europe et à une érosion de leur rentabilité,fabricants et distributeurs tricolores ont fait part de leur inquiétude au gouvernement et au président de la République,Emmanuel Macron,lors d’une réunion à l’Elysée,jeudi 3 avril. Une concurrence asiatique à bas prix,doublée d’une abondance de l’offre,accentuerait les difficultés du secteur de l’habillement en France.
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Interpellés lundi 24 février dans la soirée, deux physiciens, âgés de 48 et 59 ans, avaient jeté trois bouteilles d’azote. Ils ont été condamnés, jeudi, pour « tentative de dégradation par un moyen dangereux » et « fabrication d’engins explosifs ».
Pour parvenir à relocaliser l’essentiel de sa production, la maison d’horlogerie alsacienne a investi 250 000 euros afin de moderniser son atelier et a augmenté fortement ses prix de vente.
Régulièrement, des postulants à l’ENM se voient éconduits par le ministère de la justice alors qu’ils ont réussi le concours. Souvent pour des faits anciens et peu graves, sans que l’administration n’ait à rendre compte de ses critères de sélection.
Le vice-président J. D. Vance a mis en garde contre une « réglementation excessive » de l’IA, notamment dans l’Union européenne. En réponse, Emmanuel Macron et Ursula von der Leyen ont plaidé pour une « troisième voie », tout en vantant leurs investissements dans le secteur.