Pour les équipes,le coup est rude. La start-up Welcome to the Jungle,qui prône un monde du travail apaisé,a décidé de se séparer d’une partie de ses effectifs. « L’entreprise sait qu’ils ont créé une marque très forte sur le bien-être au travail. On se sentait protégés,c’est le rêve de la “start-up nation” qui s’écroule un peu »,estime un salarié.
Après plusieurs mois de négociations,les élus du comité social et économique (CSE) et la direction de l’entreprise française ont signé,le 10 avril,une rupture conventionnelle collective (RCC),ouverte à 102 salariés sur les 260 que compte l’entreprise en France. Par ce biais,60 personnes au maximum pourront quitter l’entreprise,et trente-cinq postes ne seront pas remplacés.
Welcome to the Jungle est avant tout connue pour son site d’emploi,incontournable chez les start-up françaises. Créée il y a dix ans,l’entreprise qui a levé près de 70 millions d’euros n’est toujours pas rentable,et affiche des pertes avoisinant 10 millions d’euros ces deux dernières années.
L’équipe éditoriale,qui écrivait sur le monde du travail,est la principale visée. Ses onze membres,ainsi que la petite dizaine de vidéastes rattachés au marketing,ont été informés à la mi-janvier que la direction prévoyait de supprimer leurs postes – les remplaçant par trois postes de manageurs de contenus pour les entreprises – ainsi qu’une quinzaine d’autres employés d’autres services.
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Interpellés lundi 24 février dans la soirée, deux physiciens, âgés de 48 et 59 ans, avaient jeté trois bouteilles d’azote. Ils ont été condamnés, jeudi, pour « tentative de dégradation par un moyen dangereux » et « fabrication d’engins explosifs ».
Pour parvenir à relocaliser l’essentiel de sa production, la maison d’horlogerie alsacienne a investi 250 000 euros afin de moderniser son atelier et a augmenté fortement ses prix de vente.
Régulièrement, des postulants à l’ENM se voient éconduits par le ministère de la justice alors qu’ils ont réussi le concours. Souvent pour des faits anciens et peu graves, sans que l’administration n’ait à rendre compte de ses critères de sélection.
Le vice-président J. D. Vance a mis en garde contre une « réglementation excessive » de l’IA, notamment dans l’Union européenne. En réponse, Emmanuel Macron et Ursula von der Leyen ont plaidé pour une « troisième voie », tout en vantant leurs investissements dans le secteur.