Au déjeuner organisé après la cérémonie d’investiture de Donald Trump,dans la rotonde du Capitole,à Washington,le 20 janvier 2025. BRENDAN SMIALOWSKI/AFP Après Mark Zuckerberg à l’investiture de Donald Trump,Mark Zuckerberg à la barre du tribunal ? C’est l’image paradoxale que pourrait offrir le grand procès antitrust,prévu lundi 14 avril,dans lequel le fondateur de Meta comparaîtra parmi les témoins.
Pendant huit semaines,devant un juge du district de Washington,l’entreprise devra se défendre face aux accusations d’avoir illégalement assis sa position dominante dans les réseaux sociaux grâce au rachat d’Instagram en 2012 puis de WhatsApp en 2014.
Mais le ralliement récent de Mark Zuckerberg au président américain entoure l’événement d’un élément de surprise. Et fait planer une forme d’incertitude. « Il y a une grosse interrogation : que va-t-il sortir des discussions entre la Maison Blanche et le fondateur de Meta,qui semble chercher un accord transactionnel ? »,résume William Kovacic,ancien président de la Federal Trade Commission (FTC),l’autorité de la concurrence qui poursuit l’entreprise. Un tel compromis avec Donald Trump,possible d’ici à lundi mais aussi pendant le procès ou même avant l’appel,mettrait a priori fin aux poursuites.
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Interpellés lundi 24 février dans la soirée, deux physiciens, âgés de 48 et 59 ans, avaient jeté trois bouteilles d’azote. Ils ont été condamnés, jeudi, pour « tentative de dégradation par un moyen dangereux » et « fabrication d’engins explosifs ».
Pour parvenir à relocaliser l’essentiel de sa production, la maison d’horlogerie alsacienne a investi 250 000 euros afin de moderniser son atelier et a augmenté fortement ses prix de vente.
Régulièrement, des postulants à l’ENM se voient éconduits par le ministère de la justice alors qu’ils ont réussi le concours. Souvent pour des faits anciens et peu graves, sans que l’administration n’ait à rendre compte de ses critères de sélection.
Le vice-président J. D. Vance a mis en garde contre une « réglementation excessive » de l’IA, notamment dans l’Union européenne. En réponse, Emmanuel Macron et Ursula von der Leyen ont plaidé pour une « troisième voie », tout en vantant leurs investissements dans le secteur.