Photo d’illustration. STEPHANE MORTAGNE/VOIX DU NORD/MAXPPP Encore inconnu il y a quatre ans,Hadrena s’est taillé une place majeure sur le marché des loisirs indoor. Devenu incontournable,le groupe mène sa croissance au pas de charge. Exploitant de 150 sites en Europe et aux Etats-Unis – dont 35 ont été ouverts ces six derniers mois –,il ambitionne de gérer 1 000 lieux de loisirs en France et à l’international d’ici à 2030. Depuis son arrivée sur le marché,Hadrena rachète tous azimuts et anticipe un chiffre d’affaires de 200 millions d’euros pour 2025.
« Nous voulons être un acteur multiproduit,confie Edouard Malnoy,le directeur général d’Hadrena. Nous avons sélectionné certains segments du marché de l’indoor tels que le complexe multiactivités,les salles pour enfants ou les action games,les jeux d’action,et nous avons acheté des marques existantes,comme SpeedPark,Koezio ou Games Factory,que nous opérons… Nous développons aussi nos propres concepts via une sorte d’incubateur. Nous avons,par exemple,lancé Fort Boyard Aventures en licence avec la société de productions ALP [Adventure Line Productions]. Enfin,nous prospectons pour dénicher les futurs emplacements stratégiques et cherchons les acquisitions,en rachetant certaines salles indépendantes. »
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Interpellés lundi 24 février dans la soirée, deux physiciens, âgés de 48 et 59 ans, avaient jeté trois bouteilles d’azote. Ils ont été condamnés, jeudi, pour « tentative de dégradation par un moyen dangereux » et « fabrication d’engins explosifs ».
Pour parvenir à relocaliser l’essentiel de sa production, la maison d’horlogerie alsacienne a investi 250 000 euros afin de moderniser son atelier et a augmenté fortement ses prix de vente.
Régulièrement, des postulants à l’ENM se voient éconduits par le ministère de la justice alors qu’ils ont réussi le concours. Souvent pour des faits anciens et peu graves, sans que l’administration n’ait à rendre compte de ses critères de sélection.
Le vice-président J. D. Vance a mis en garde contre une « réglementation excessive » de l’IA, notamment dans l’Union européenne. En réponse, Emmanuel Macron et Ursula von der Leyen ont plaidé pour une « troisième voie », tout en vantant leurs investissements dans le secteur.