Le maire de Marseille,Benoît Payan (à droite),présente à Emmanuel Macron les rénovations en cours de l’école primaire Saint-André-La Castellane,dans le cadre du plan Marseille en grand,à Marseille,le 27 juin 2023. GUILLAUME HORCAJUELO/AFP « Ce plan n’est pas un long fleuve tranquille… Jamais aucune commune ne s’est lancée dans la rénovation et la construction de 188 écoles. C’est pharaonique. » Jeudi 10 avril,sur les hauteurs des quartiers nord de Marseille,dans la cour du groupe scolaire Saint-André-La Castellane,Pierre-Marie Ganozzi veut convaincre. Le « plan du siècle »,comme l’appelle la ville,avance et,s’il peut connaître des déboires,c’est parce qu’il est « exceptionnel ».
Adjoint au maire chargé du plan écoles,ce pilier du Printemps marseillais,la coalition de gauche majoritaire depuis 2020,a invité la presse pour faire le point sur la réhabilitation de cet établissement du 16e arrondissement. Derrière lui,profitant des vacances et de l’absence des élèves,une pelle mécanique cisaille la structure métallique de l’ancienne maternelle. A ses côtés,la maire adjointe,Samia Ghali,sur ses terres d’élections,et la sous-préfète Virginie Averous,en charge du plan Marseille en grand dont fait partie le « plan écoles »,font front commun. Elles marquent symboliquement le fait que,dans ce dossier au coût total estimé désormais à 1,8 milliard d’euros,l’Etat et la municipalité,coactionnaires à 50 % de la société publique des écoles marseillaises (SPEM),marchent du même pas.
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Interpellés lundi 24 février dans la soirée, deux physiciens, âgés de 48 et 59 ans, avaient jeté trois bouteilles d’azote. Ils ont été condamnés, jeudi, pour « tentative de dégradation par un moyen dangereux » et « fabrication d’engins explosifs ».
Pour parvenir à relocaliser l’essentiel de sa production, la maison d’horlogerie alsacienne a investi 250 000 euros afin de moderniser son atelier et a augmenté fortement ses prix de vente.
Régulièrement, des postulants à l’ENM se voient éconduits par le ministère de la justice alors qu’ils ont réussi le concours. Souvent pour des faits anciens et peu graves, sans que l’administration n’ait à rendre compte de ses critères de sélection.
Le vice-président J. D. Vance a mis en garde contre une « réglementation excessive » de l’IA, notamment dans l’Union européenne. En réponse, Emmanuel Macron et Ursula von der Leyen ont plaidé pour une « troisième voie », tout en vantant leurs investissements dans le secteur.