Mayane-Sarah El Baze,au H4 Hotel Wyndham Paris Pleyel Resort,à Saint-Denis (Seine-Saint-Denis),le 10 avril 2025. ARTHUR GAU POUR « LE MONDE » Une femme s’approche du canapé où nous sommes assises. « Excusez-moi,bonsoir,on était en train de manger,ma fille m’a dit : “Il y a Mayane.” On peut vous déranger pour faire une photo ? Merci,on te regarde dans “Danse avec les stars” tous les vendredis. » Mayane-Sarah El Baze se lève,se prête à la pose,puis salue la mère et la fille,en formant un cœur avec ses doigts. On venait justement de lui demander s’il lui arrivait d’être reconnue dans la rue. « Il y a des gens qui m’arrêtent et me disent : “Vous êtes trop belle,vous dansez trop bien.” Ça me fait plaisir,et puis il faut être polie dans la vie »,avait-elle répondu en éclatant de rire.
Avec son visage lisse,des yeux brillants en amande,des lèvres soulignées du même rose vif que son vernis,la jeune femme de 20 ans assume une féminité pop et sexy. Et elle « danse trop bien » parce qu’elle s’entraîne avec beaucoup d’énergie pour « Danse avec les stars »,sur TF1. On s’est retrouvées,jeudi 10 avril,pour boire une limonade au Hotel Wyndham Paris Pleyel Resort,parce qu’il est situé près du studio d’enregistrement où elle répète depuis 8 heures ce matin-là. « Elle est infatigable,confie son agente,Marie Mingalon. Le rythme est intense,mais elle ne se plaint jamais. Elle en profite à fond. »
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Interpellés lundi 24 février dans la soirée, deux physiciens, âgés de 48 et 59 ans, avaient jeté trois bouteilles d’azote. Ils ont été condamnés, jeudi, pour « tentative de dégradation par un moyen dangereux » et « fabrication d’engins explosifs ».
Pour parvenir à relocaliser l’essentiel de sa production, la maison d’horlogerie alsacienne a investi 250 000 euros afin de moderniser son atelier et a augmenté fortement ses prix de vente.
Régulièrement, des postulants à l’ENM se voient éconduits par le ministère de la justice alors qu’ils ont réussi le concours. Souvent pour des faits anciens et peu graves, sans que l’administration n’ait à rendre compte de ses critères de sélection.
Le vice-président J. D. Vance a mis en garde contre une « réglementation excessive » de l’IA, notamment dans l’Union européenne. En réponse, Emmanuel Macron et Ursula von der Leyen ont plaidé pour une « troisième voie », tout en vantant leurs investissements dans le secteur.