Le collège et lycée Le Beau Rameau (ex-Bétharram),à Lestelle-Betharram (Pyrénées-Atlantiques). GAIZKA IROZ / AFP L’affaire de Bétharram est considérée comme l’un des plus grands scandales de pédophilie de l’histoire de l’éducation française. Le voile se lève peu à peu sur plus de six décennies de violences physiques et sexuelles présumées au sein de l’institution catholique Notre-Dame-de-Bétharram,dans les Pyrénées-Atlantiques,rebaptisée Le Beau Rameau en 2009.
La dénonciation massive de ces violences depuis la fin 2023 par de nombreux anciens élèves de l’établissement,dont les témoignages sont désormais regroupés dans un livre,interroge l’ensemble de la société sur les mécanismes qui ont permis à ce « goulag des Pyrénées » de perdurer si longtemps. Elle a abouti à la création récente d’une commission d’enquête parlementaire sur les violences scolaires,chargée de retracer la chaîne des responsabilités et d’identifier les défaillances au sein des services de contrôle de l’Etat dans tous les établissements scolaires. La commission prévoit aussi d’auditionner le premier ministre,François Bayrou,dont la responsabilité est mise en cause en tant qu’ancien ministre de l’éducation et père d’une des victimes,même si lui affirme n’avoir rien su des dérives de l’établissement.
Interpellés lundi 24 février dans la soirée, deux physiciens, âgés de 48 et 59 ans, avaient jeté trois bouteilles d’azote. Ils ont été condamnés, jeudi, pour « tentative de dégradation par un moyen dangereux » et « fabrication d’engins explosifs ».
Pour parvenir à relocaliser l’essentiel de sa production, la maison d’horlogerie alsacienne a investi 250 000 euros afin de moderniser son atelier et a augmenté fortement ses prix de vente.
Régulièrement, des postulants à l’ENM se voient éconduits par le ministère de la justice alors qu’ils ont réussi le concours. Souvent pour des faits anciens et peu graves, sans que l’administration n’ait à rendre compte de ses critères de sélection.
Le vice-président J. D. Vance a mis en garde contre une « réglementation excessive » de l’IA, notamment dans l’Union européenne. En réponse, Emmanuel Macron et Ursula von der Leyen ont plaidé pour une « troisième voie », tout en vantant leurs investissements dans le secteur.