La voiture volante Trumpchi Cove au Salon international de l’industrie automobile de Shanghaï,le 23 avril 2025. WANG ZHAO / AFP Le Salon de l’automobile de Shanghaï a tourné une page. Fini les cérémonies à l’ancienne où,tout à coup,le son de la musique monte d’un stand,attirant tous les regards quelques secondes avant que le patron de la marque ne retire la housse de protection d’un nouveau modèle pour le révéler au public. « Je suis allé à deux présentations et cela a disparu,vous avez remarqué ? »,lance Xin Tianshu,le dirigeant de Leapmotor International,coentreprise entre Stellantis et la start-up chinoise Leapmotor.
Sur le stand d’en face,celui du groupe public Dongfeng,une marque historique qui veut revenir dans la course de l’électrique,« il n’a pas été question de nouveaux modèles ce matin,seulement de technologie. C’est comme si on était à une présentation de téléphone mobile. On parle de système d’exploitation,d’intelligence artificielle,de la manière dont elle permet à la voiture d’apprendre à conduire toute seule »,poursuit-il. La carrosserie,la couleur,ce n’est plus un sujet. « Ce qui emporte la décision du client,c’est la manière dont la voiture va se connecter à sa vie »,conclut Xin Tianshu.
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Interpellés lundi 24 février dans la soirée, deux physiciens, âgés de 48 et 59 ans, avaient jeté trois bouteilles d’azote. Ils ont été condamnés, jeudi, pour « tentative de dégradation par un moyen dangereux » et « fabrication d’engins explosifs ».
Pour parvenir à relocaliser l’essentiel de sa production, la maison d’horlogerie alsacienne a investi 250 000 euros afin de moderniser son atelier et a augmenté fortement ses prix de vente.
Régulièrement, des postulants à l’ENM se voient éconduits par le ministère de la justice alors qu’ils ont réussi le concours. Souvent pour des faits anciens et peu graves, sans que l’administration n’ait à rendre compte de ses critères de sélection.
Le vice-président J. D. Vance a mis en garde contre une « réglementation excessive » de l’IA, notamment dans l’Union européenne. En réponse, Emmanuel Macron et Ursula von der Leyen ont plaidé pour une « troisième voie », tout en vantant leurs investissements dans le secteur.