Claude Palmero,ancien administrateur des biens du prince Albert II de Monaco,à Monaco,le 26 juillet 2024. JEAN FRANÇOIS OTTONELLO/NICE MATIN/MAXPPP La famille souveraine monégasque vit des heures noires et voit ses ennuis s’accumuler. La Commission européenne vient en effet d’annoncer son intention de placer la Principauté sur la liste des pays « à haut risque »,ceux qui ne satisfont pas les exigences de lutte contre le blanchiment et l’argent du terrorisme,et ce alors qu’Emmanuel Macron devait se rendre sur le Rocher,samedi 7 et dimanche 8 juin,pour une visite d’Etat – la première d’un président français depuis François Mitterrand,en 1984. Mais il y a encore plus gênant pour les Grimaldi.
En effet,ce qu’il convenait d’appeler jusqu’ici « l’affaire Palmero »,du nom de l’ancien administrateur des biens princiers,prend des allures de « Monacogate ». Les récentes déclarations de ce même Claude Palmero à la police monégasque donnent une idée de la tempête à venir. A commencer par ces propos,datés du 5 février : « Son Altesse Sérénissime [le prince Albert II] voulait qu’il y ait le moins de traces écrites possible,et que son patrimoine soit opaque. » Et l’expert-comptable de profession de fournir ensuite aux enquêteurs des documents à l’appui de ses accusations.
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Interpellés lundi 24 février dans la soirée, deux physiciens, âgés de 48 et 59 ans, avaient jeté trois bouteilles d’azote. Ils ont été condamnés, jeudi, pour « tentative de dégradation par un moyen dangereux » et « fabrication d’engins explosifs ».
Pour parvenir à relocaliser l’essentiel de sa production, la maison d’horlogerie alsacienne a investi 250 000 euros afin de moderniser son atelier et a augmenté fortement ses prix de vente.
Régulièrement, des postulants à l’ENM se voient éconduits par le ministère de la justice alors qu’ils ont réussi le concours. Souvent pour des faits anciens et peu graves, sans que l’administration n’ait à rendre compte de ses critères de sélection.
Le vice-président J. D. Vance a mis en garde contre une « réglementation excessive » de l’IA, notamment dans l’Union européenne. En réponse, Emmanuel Macron et Ursula von der Leyen ont plaidé pour une « troisième voie », tout en vantant leurs investissements dans le secteur.