La devanture de la bijouterie Maty de la place de l’Opéra,à Paris. DANIEL THIERRY/PHOTONONSTOP Un mois a suffi. Le bijoutier Maty a eu recours à l’intelligence artificielle pour traduire les textes de son site en anglais et en néerlandais. Il lui en a coûté 30 000 euros,pour 15 000 références. Ce montant aurait atteint « plus de 100 000 euros » s’il avait eu recours à une équipe de traducteurs en chair et en os,explique le président de son directoire,André Ségura.
L’entreprise a déjà recours à l’automatisation de certaines taches grâce à des chatbots afin d’assister ses clients en ligne,de manière automatisée,notamment en dehors des heures ouvrées de travail de sa dizaine d’employés affectés au service client.
Malgré l’usage de ces nouvelles techniques d’exploitation,l’entreprise familiale,adossée à un atelier de production de bijoux employant 140 personnes à Besançon,relève toujours du commerce traditionnel. Fondée par Gérard Mantion et son épouse Elyane dans la préfecture du Doubs,en 1951,Maty,d’abord horloger,a développé son activité de vente de montres et de bijoux,grâce à un catalogue de vente par correspondance,avant de devenir une enseigne en 1968 et de se lancer en ligne en 2000.
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