A Mérignac (Gironde),près de Bordeaux,le 17 septembre 2024. CHRISTOPHE ARCHAMBAULT/AFP La présentation des deux cartes bordelaises côte à côte fait chaque fois son petit effet. A gauche,des traits orange plus ou moins épais représentent le nombre de trajets effectués par des personnes,entre 5 heures et 10 heures,un matin de novembre 2023,entre l’extérieur de la métropole et son centre. A droite,des ronds violets indiquent,pour la même période,le nombre de places disponibles dans les trains régionaux. Quelque 134 000 trajets comptabilisés,contre 14 600 places à bord de 26 TER,« soit neuf fois moins d’offre que de demande »,expose Jean Coldefy,ingénieur spécialiste des transports.
L’exercice est décliné sur d’autres agglomérations. Une carte de France piquetée de ronds jaunes,orange ou rouges résume cette notion de déficit de places dans les TER face à la demande qui pourrait exister. « En moyenne,c’est cinq fois moins de places. Et même quinze fois moins à Montpellier »,constate Jean Coldefy,qui,avec le géographe Jacques Lévy et l’appui du groupe de transport Transdev,brasse les données de téléphonie d’Orange sur la France entière. Avec une petite équipe,ils scrutent le pays et les déplacements de ses habitants.
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« The Walking Dead », « Lucky Luke », « Les 4 Fantastiques »… Depuis 2020, le gouvernement espagnol déroule le tapis rouge aux équipes de films étrangères, à coups de crédits d’impôt, d’aides au secteur et de facilités administratives. Résultat : les tournages se multiplient, au profit de l’économie locale.
Le peso s’est fortement apprécié face au dollar en 2024, provoquant notamment une forte baisse du tourisme. Le gouvernement assure qu’il ne procédera pas à une dévaluation.
Des associations font remonter des refus d’inscription ou de bourses et des problèmes de transport dans les quartiers où ont éclaté les émeutes de 2024. Pointée du doigt, la province Sud, qui a vu son budget impacté par les heurts, se défend de toute discrimination.
Sans abandonner la lutte contre le cannabis, le président de la collectivité ultramarine, Moetai Brotherson, entend s’attaquer au trafic de l’« ice », une méthamphétamine consommée par de nombreux Polynésiens. Le gouvernement local affectera 2 millions d’euros chaque année à la prévention et au sevrage.