David Belliard,à l’Hôtel de ville de Paris,le 15 janvier 2025. MARTIN LELIEVRE/AFP Les Ecologistes de Paris savouraient leur moment,dimanche 16 mars au soir. Sur l’estrade d’une petite salle du 10ᵉ arrondissement de Paris,les quatre candidats à la primaire du parti pour les municipales 2026 s’affichaient côte à côte et avec le sourire pour l’annonce des résultats du premier tour. Si David Belliard est arrivé largement en tête,avec 48 % des suffrages,devant Anne-Claire Boux (27 %),Fatoumata Koné (15 %) et Aminata Niakaté (10 %),tous estimaient avoir gagné le prix de la démocratie interne la plus apaisée.
« Merci pour la qualité des débats,des échanges,le sérieux et la rigueur. Nous donnons le meilleur des Ecologistes »,s’est félicité David Belliard,adjoint à la maire chargé de la transformation de l’espace public. « Comme quoi,les primaires,ce n’est pas toujours la division ! »,a complété sa collègue Anne-Claire Boux,adjointe à la santé,sous les applaudissements des militants présents.
Comprendre : à la différence des socialistes qui se déchirent depuis des mois dans un duel tendu entre les parlementaires Rémi Féraud et Emmanuel Grégoire,auxquels vient de s’ajouter une troisième candidate surprise en la personne de Marion Waller,directrice du Pavillon de l’Arsenal. Les Ecologistes peuvent s’enorgueillir d’avoir organisé une primaire sans dérapage ni contestation,où chaque candidat a pu exprimer sa vision des choses lors d’un débat de fond et de bonne tenue,le 10 mars. A peine ont-ils été perturbés par la tentative ratée du sénateur de Paris Yannick Jadot de les faire abandonner la course pour se ranger derrière lui.
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