Vue sur la station de ski de Villard-de-Lans (Isère),rachetée en 2019 par l’ancien basketteur Tony Parker,le 27 janvier 2021. PABLO CHIGNARD / DIVERGENCE Rossignol sort péniblement de deux hivers consécutifs trop cléments. Le groupe qui détient les marques Rossignol,Lange,Look et Dynastar n’atteindra pas les 500 millions d’euros de chiffre d’affaires en 2026,objectif qu’il s’était assigné en 2023. Après le pic de 401 millions d’euros de ventes mondiales atteint sur l’exercice clos en mars 2023,le fabricant de chaussures,skis et fixations a vu son activité mondiale plonger à 372 millions d’euros à fin mars 2024. L’exercice en cours de clôture sera également en recul mais toujours bénéficiaire,assure Vincent Wauters,directeur général du groupe depuis 2021.
Alors que la saison des sports d’hiver s’achève en Europe,Rossignol constate que ses détaillants n’ont pas procédé à des réassortiments de marchandises,préférant écouler les invendus des hivers 2022-2023 et 2023-2024. Notamment de ceux du ski nordique,pratique qui a souffert du manque d’enneigement naturel dans les stations européennes. Dès lors,la barre des 500 millions d’euros n’est « pas atteignable avant 2029 »,précise le dirigeant au Monde,en marge d’une conférence de presse tenue à Paris,mardi 18 mars.
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« The Walking Dead », « Lucky Luke », « Les 4 Fantastiques »… Depuis 2020, le gouvernement espagnol déroule le tapis rouge aux équipes de films étrangères, à coups de crédits d’impôt, d’aides au secteur et de facilités administratives. Résultat : les tournages se multiplient, au profit de l’économie locale.
Le peso s’est fortement apprécié face au dollar en 2024, provoquant notamment une forte baisse du tourisme. Le gouvernement assure qu’il ne procédera pas à une dévaluation.
Des associations font remonter des refus d’inscription ou de bourses et des problèmes de transport dans les quartiers où ont éclaté les émeutes de 2024. Pointée du doigt, la province Sud, qui a vu son budget impacté par les heurts, se défend de toute discrimination.
Sans abandonner la lutte contre le cannabis, le président de la collectivité ultramarine, Moetai Brotherson, entend s’attaquer au trafic de l’« ice », une méthamphétamine consommée par de nombreux Polynésiens. Le gouvernement local affectera 2 millions d’euros chaque année à la prévention et au sevrage.