« En mars,pour la première fois,un ETF défense vient d’intégrer le top 10 des ETF les plus achetés »,dévoile Vincent Grard,directeur France du courtier Trade Republic,confirmant l’engouement récent pour ces « exchange traded funds » adossés aux entreprises de la défense. Le ministre de l’économie et des finances,Eric Lombard,a annoncé,le 20 mars,vouloir « renforcer le financement populaire » de l’industrie de défense française. Devant un public composé de banques,d’assureurs,de gestionnaires de fonds et d’industriels du secteur,l’exécutif a exhorté les acteurs financiers à développer l’offre de produits d’épargne dans l’assurance-vie,le plan d’épargne en actions et le plan d’épargne retraite adossée aux entreprises de la défense.
Les épargnants voulant profiter de la vague d’investissements à venir dans ce pan de l’économie – la Commission européenne vient d’annoncer le déploiement d’une enveloppe de 800 milliards d’euros pour les quatre prochaines années – peuvent toutefois déjà passer à l’action. Des exchange traded funds (ETF),produits financiers suivant mécaniquement l’évolution d’un indice boursier,concentrés dans ce secteur sont commercialisés depuis deux ans. Avec un engouement déjà avéré. « En mars,un ETF défense vient d’intégrer le top 10 des ETF les plus achetés. Et Thales est devenue la troisième valeur la plus échangée sur notre plateforme »,directeur France du courtier Trade Republic.
Il vous reste 79.73% de cet article à lire. La suite est réservée aux abonnés.
« The Walking Dead », « Lucky Luke », « Les 4 Fantastiques »… Depuis 2020, le gouvernement espagnol déroule le tapis rouge aux équipes de films étrangères, à coups de crédits d’impôt, d’aides au secteur et de facilités administratives. Résultat : les tournages se multiplient, au profit de l’économie locale.
Le peso s’est fortement apprécié face au dollar en 2024, provoquant notamment une forte baisse du tourisme. Le gouvernement assure qu’il ne procédera pas à une dévaluation.
Des associations font remonter des refus d’inscription ou de bourses et des problèmes de transport dans les quartiers où ont éclaté les émeutes de 2024. Pointée du doigt, la province Sud, qui a vu son budget impacté par les heurts, se défend de toute discrimination.
Sans abandonner la lutte contre le cannabis, le président de la collectivité ultramarine, Moetai Brotherson, entend s’attaquer au trafic de l’« ice », une méthamphétamine consommée par de nombreux Polynésiens. Le gouvernement local affectera 2 millions d’euros chaque année à la prévention et au sevrage.