Le dessinateur Marcel Gotlib,l’un des fondateurs du magazine « Fluide glacial »,dans son bureau,à Paris,le 4 mai 2005. GUILLOT / AFP A ma droite,les inénarrables héros dessinés Lucien,Litteul Kévin,Jean-Claude Tergal ou encore Superdupont. A ma gauche,les irremplaçables dessinateurs Moëbius et Philippe Druillet,le journaliste Jean-Pierre Dionnet et l’homme d’affaires Bernard Farkas. Mon premier fête ses Pile 50 ans d’umour et Bandessinées (164 pages,9,95 euros),fidèle à son esprit drolatique et absurde. Mon second,perpétuelle matrice de science-fiction (SF) et de fantastique,annonce : 50 ans et déjà immortel (290 pages,22 euros). Mes deux revues s’appellent Fluide glacial et Métal hurlant,et fêtent leur demi-siècle avec des numéros spéciaux disponibles en kiosque et en librairie pour plusieurs semaines encore.
L’un et l’autre sont apparus pour la même raison : l’envie de dessinateurs de sortir des sages planches qui paraissaient dans Pilote,créé en 1959. « Jean-Pierre Dionnet venait de Pilote,dans laquelle Moëbius proposait Blueberry,et Philippe Druillet,Lone Sloane,retrace Lloyd Chéry,rédacteur en chef adjoint de Métal hurlant. Comme il n’y avait pas de science-fiction dans le magazine,ils sont tous les trois allés créer Métal hurlant [avec Bernard Farkas]. Et comme il n’y avait pas non plus d’humour trash,L’Echo des savanes,avec Gotlib,Claire Bretécher,Mandryka, etc.,est né (en 1972),puis Fluide glacial »,en 1975.
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Le peso s’est fortement apprécié face au dollar en 2024, provoquant notamment une forte baisse du tourisme. Le gouvernement assure qu’il ne procédera pas à une dévaluation.
Des associations font remonter des refus d’inscription ou de bourses et des problèmes de transport dans les quartiers où ont éclaté les émeutes de 2024. Pointée du doigt, la province Sud, qui a vu son budget impacté par les heurts, se défend de toute discrimination.
Sans abandonner la lutte contre le cannabis, le président de la collectivité ultramarine, Moetai Brotherson, entend s’attaquer au trafic de l’« ice », une méthamphétamine consommée par de nombreux Polynésiens. Le gouvernement local affectera 2 millions d’euros chaque année à la prévention et au sevrage.