Un hypermarché Cora,à Bruxelles,le 8 avril 2025. HATIM KAGHAT / AFP En pleine restructuration,le secteur belge de la distribution enregistre un nouveau coup dur avec l’annonce par Cora,mardi 8 avril,de la fermeture de ses six hypermarchés. Mille huit cents emplois seront perdus d’ici à janvier 2026 une fois que deux magasins bruxellois et quatre situés en Wallonie auront définitivement fermé leurs portes. D’autres emplois devraient disparaître dans les commerces (restauration rapide,téléphonie,habillement,jouets,etc.) implantés dans les galeries commerciales que le groupe espère toutefois revendre afin d’y maintenir l’activité.
Les syndicats,privés d’informations claires sur la situation de l’entreprise depuis de nombreux mois,attendaient avec impatience le conseil d’entreprise extraordinaire convoqué mardi par la direction de Louis Delhaize,propriétaire de l’enseigne et qui recherchait,en vain,un repreneur.
En 2023,il avait revendu à Carrefour ses hypermarchés Cora et ses supermarchés Match en France,tandis qu’il cédait à E.Leclerc ses magasins au Luxembourg. En 2024 et en janvier 2025,d’autres marques du Groupe Louis Delhaize ont été cédées à Colruyt Group,puis à Ahold Delhaize.
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« The Walking Dead », « Lucky Luke », « Les 4 Fantastiques »… Depuis 2020, le gouvernement espagnol déroule le tapis rouge aux équipes de films étrangères, à coups de crédits d’impôt, d’aides au secteur et de facilités administratives. Résultat : les tournages se multiplient, au profit de l’économie locale.
Le peso s’est fortement apprécié face au dollar en 2024, provoquant notamment une forte baisse du tourisme. Le gouvernement assure qu’il ne procédera pas à une dévaluation.
Des associations font remonter des refus d’inscription ou de bourses et des problèmes de transport dans les quartiers où ont éclaté les émeutes de 2024. Pointée du doigt, la province Sud, qui a vu son budget impacté par les heurts, se défend de toute discrimination.
Sans abandonner la lutte contre le cannabis, le président de la collectivité ultramarine, Moetai Brotherson, entend s’attaquer au trafic de l’« ice », une méthamphétamine consommée par de nombreux Polynésiens. Le gouvernement local affectera 2 millions d’euros chaque année à la prévention et au sevrage.