Lors d’une manifestation des employés de la Société générale,à Lille,le 25 mars 2025. SAMEER AL-DOUMY / AFP Le classement reste inchangé,mais le trio de tête voit son avance se réduire. Mardi 8 avril,le ministère du travail a diffusé les résultats de l’audience des syndicats dans le secteur privé. Les données mettent en évidence une très grande stabilité de la hiérarchie,la CFDT se maintenant sur la plus haute marche du podium devant la CGT et FO tandis que la CFE-CGC – au quatrième rang – continue de se rapprocher d’elles.
Les chiffres rendus publics mardi sont fournis tous les quatre ans,depuis 2013,à partir des élections qui se tiennent au sein des entreprises et des chambres départementales d’agriculture. Ces consultations permettent de calculer le poids des organisations en lice – un paramètre essentiel pour déterminer si elles sont représentatives et ont,donc,le droit de négocier des accords (au niveau interprofessionnel comme dans les branches).
Effectuée sur la base de scrutins ayant eu lieu entre janvier 2021 et fin janvier 2025,la nouvelle pesée montre que la position des syndicats les plus importants s’effrite. La CFDT,avec 26,58 % des voix,recule de deux dixièmes de point par rapport au précédent cycle électoral de 2017-2020,enregistrant ainsi sa première baisse (en pourcentage) depuis que la mesure de la représentativité est réalisée.
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« The Walking Dead », « Lucky Luke », « Les 4 Fantastiques »… Depuis 2020, le gouvernement espagnol déroule le tapis rouge aux équipes de films étrangères, à coups de crédits d’impôt, d’aides au secteur et de facilités administratives. Résultat : les tournages se multiplient, au profit de l’économie locale.
Le peso s’est fortement apprécié face au dollar en 2024, provoquant notamment une forte baisse du tourisme. Le gouvernement assure qu’il ne procédera pas à une dévaluation.
Des associations font remonter des refus d’inscription ou de bourses et des problèmes de transport dans les quartiers où ont éclaté les émeutes de 2024. Pointée du doigt, la province Sud, qui a vu son budget impacté par les heurts, se défend de toute discrimination.
Sans abandonner la lutte contre le cannabis, le président de la collectivité ultramarine, Moetai Brotherson, entend s’attaquer au trafic de l’« ice », une méthamphétamine consommée par de nombreux Polynésiens. Le gouvernement local affectera 2 millions d’euros chaque année à la prévention et au sevrage.