L’abbé Pierre,dans le parc de l’abbaye Saint-Wandrille à Rives-en-Seine (Seine-Maritime),le 5 décembre 1987. MYCHELE DANIAU/AFP Au sujet de l’abbé Pierre et de ses « comportements déviants » – l’un des euphémismes les plus employés pour décrire des faits de nature diverse allant jusqu’aux agressions sexuelles et au viol – la question n’est plus depuis longtemps de savoir « qui savait »,dans les milieux religieux,politique ou associatif,mais bien plutôt : qui savait quoi et depuis quand ?
Le livre-enquête signé par les journalistes Laetitia Cherel et Marie-France Etchegoin,L’Abbé Pierre,la fabrique d’un saint (Allary Editions,416 pages,22,90 euros),apporte à cet égard des éléments nouveaux. Selon cet ouvrage paru jeudi 17 avril,le Vatican était au courant dès le milieu des années 1950,et de manière précise,des agissements d’Henri Grouès,alors ancien résistant et ancien député à la notoriété croissante.
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« The Walking Dead », « Lucky Luke », « Les 4 Fantastiques »… Depuis 2020, le gouvernement espagnol déroule le tapis rouge aux équipes de films étrangères, à coups de crédits d’impôt, d’aides au secteur et de facilités administratives. Résultat : les tournages se multiplient, au profit de l’économie locale.
Le peso s’est fortement apprécié face au dollar en 2024, provoquant notamment une forte baisse du tourisme. Le gouvernement assure qu’il ne procédera pas à une dévaluation.
Des associations font remonter des refus d’inscription ou de bourses et des problèmes de transport dans les quartiers où ont éclaté les émeutes de 2024. Pointée du doigt, la province Sud, qui a vu son budget impacté par les heurts, se défend de toute discrimination.
Sans abandonner la lutte contre le cannabis, le président de la collectivité ultramarine, Moetai Brotherson, entend s’attaquer au trafic de l’« ice », une méthamphétamine consommée par de nombreux Polynésiens. Le gouvernement local affectera 2 millions d’euros chaque année à la prévention et au sevrage.