Daniel Grenon,député de l’Yonne (aujourd’hui exclu du Rassemblement national),à Auxerre,le 9 septembre 2022. MARION BOISJOT/PHOTOPQR/L'YONNE REPUBLICAINE/MAXPPP Qualifiés pour le second tour des élections législatives de 2024 dans la 1re circonscription de l’Yonne,Daniel Grenon,député sortant du Rassemblement national (RN),et son adversaire,l’écologiste Florence Loury,s’étaient retrouvés dans les locaux du quotidien L’Yonne républicaine pour débattre. Interrogé sur les dérapages de plusieurs candidats du RN,Daniel Grenon avait répondu : « Des dérapages,il y en a partout. Si on veut revenir sur les binationaux,toutes ces choses-là sont discutables. (…) Sur trente ou quarante postes,on ne peut pas se permettre d’avoir des binationaux. Des Maghrébins sont arrivés au pouvoir en 2016,ces gens-là n’ont pas leur place dans les hauts lieux. »
Daniel Grenon faisait référence à la fois à la promesse du président de son parti,Jordan Bardella,d’exclure de certains postes stratégiques de l’Etat les Français binationaux,et aux propos tenus quatre jours plus tôt par Roger Chudeau,député (RN) de Loir-et-Cher,qui avait évoqué « un problème de double loyauté » : « Les postes ministériels doivent être détenus par des Franco-Français,point final »,avait dit ce dernier en visant Najat Vallaud-Belkacem,ancienne ministre (socialiste) de l’éducation nationale (2014-2017) à la double nationalité franco-marocaine.
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