L’assurance-vie luxembourgeoise attire les épargnants français fortunés,mais la récente faillite de l’assureur FWU,prononcée le 31 janvier,est venue jeter une ombre sur ces produits appréciés pour leur polyvalence.
Pour ceux qui s’étaient laissé séduire,tout devrait bien se terminer : le régime de « cantonnement » de l’assurance-vie luxembourgeoise – une séparation entre les avoirs des souscripteurs,les actifs des actionnaires et autres créanciers de l’assureur – devrait permettre aux clients concernés de retrouver leur mise.
Cette histoire montre en tout cas qu’une faillite est toujours possible et tous les pays n’offrent pas la même protection de l’épargne et des dépôts. Mieux vaut s’en souvenir à l’heure où la technologie offre une facilité d’accès à toutes sortes d’intermédiaires financiers étrangers,comme le néerlandais Bunq,Lemonade (dont le siège est à New York),eToro fondée à Tel-Aviv (Israël),pour ne citer qu’eux.
Pour savoir comment on va être indemnisé en cas de problème,il est important de distinguer « les banques,y compris les néobanques,pour les comptes courants et les investissements bancaires,les assureurs pour la gestion des contrats d’assurance-vie et autres produits d’épargne,et les plateformes d’investissement pour les comptes-titres et les plans d’épargne en actions (PEA) »,rappelle Charlotte Thameur,directrice du développement de la plateforme d’investissement Shares.
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« The Walking Dead », « Lucky Luke », « Les 4 Fantastiques »… Depuis 2020, le gouvernement espagnol déroule le tapis rouge aux équipes de films étrangères, à coups de crédits d’impôt, d’aides au secteur et de facilités administratives. Résultat : les tournages se multiplient, au profit de l’économie locale.
Le peso s’est fortement apprécié face au dollar en 2024, provoquant notamment une forte baisse du tourisme. Le gouvernement assure qu’il ne procédera pas à une dévaluation.
Des associations font remonter des refus d’inscription ou de bourses et des problèmes de transport dans les quartiers où ont éclaté les émeutes de 2024. Pointée du doigt, la province Sud, qui a vu son budget impacté par les heurts, se défend de toute discrimination.
Sans abandonner la lutte contre le cannabis, le président de la collectivité ultramarine, Moetai Brotherson, entend s’attaquer au trafic de l’« ice », une méthamphétamine consommée par de nombreux Polynésiens. Le gouvernement local affectera 2 millions d’euros chaque année à la prévention et au sevrage.