A la Bourse de New York,le 8 avril 2025. ANGELA WEISS / AFP Pendant que Washington négocie,New York turbule. Wall Street a connu,mercredi 21 mai,une nouvelle journée agitée,les principaux indices clôturant en baisse,sur fond de discussions au Capitole sur le texte budgétaire,baptisé par Donald Trump « the big,beautiful bill » (le grand et beau projet de loi). Le Dow Jones a fondu de 1,91 %,le S&P 500,l’indice le plus large,a perdu 1,61 %,quand le Nasdaq,riche en valeurs technologiques,reculait de 1,40 %. La plus grosse perte depuis un mois.
On est loin des dégringolades qui ont suivi l’annonce des droits de douane prohibitifs,début avril. Les principaux indices avaient d’ailleurs entre-temps récupéré leur niveau de capitalisation de la fin février. Mais l’humeur était maussade,mercredi. Car si le marché des actions est par nature volatile,les investisseurs n’apprécient pas quand les titres dévissent sur le marché obligataire.
En cause,une vente aux enchères de bons du Trésor américain pour 16 milliards de dollars (14,1 milliards d’euros),avec une échéance à vingt ans,qui a donné des résultats décevants,mercredi,en dessous des attentes générales. Les acheteurs ne se sont pas précipités,à cause des doutes actuels sur l’économie et le niveau de déficits américains.
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« The Walking Dead », « Lucky Luke », « Les 4 Fantastiques »… Depuis 2020, le gouvernement espagnol déroule le tapis rouge aux équipes de films étrangères, à coups de crédits d’impôt, d’aides au secteur et de facilités administratives. Résultat : les tournages se multiplient, au profit de l’économie locale.
Le peso s’est fortement apprécié face au dollar en 2024, provoquant notamment une forte baisse du tourisme. Le gouvernement assure qu’il ne procédera pas à une dévaluation.
Des associations font remonter des refus d’inscription ou de bourses et des problèmes de transport dans les quartiers où ont éclaté les émeutes de 2024. Pointée du doigt, la province Sud, qui a vu son budget impacté par les heurts, se défend de toute discrimination.
Sans abandonner la lutte contre le cannabis, le président de la collectivité ultramarine, Moetai Brotherson, entend s’attaquer au trafic de l’« ice », une méthamphétamine consommée par de nombreux Polynésiens. Le gouvernement local affectera 2 millions d’euros chaque année à la prévention et au sevrage.