Sundar Pichai,PDG de Google LLC,lors de la conférence annuelle sur le cloud business de l’entreprise,à Las Vegas,le 9 avril 2025. KYODO/MAXPPP Quelques jours après Meta,c’est au tour de Google – et de son PDG,Sundar Pichai – d’affronter,depuis lundi 21 avril,un procès antitrust. Les trois semaines d’audience face au juge du district de Washington,Amit Mehta,détermineront quelles sanctions vont être appliquées à l’entreprise,dans une affaire où elle a déjà été reconnue coupable,en août,d’avoir maintenu illégalement sa position dominante dans la recherche en ligne,grâce à des accords rémunérés,notamment avec Apple. L’accusation réclame des remèdes incluant la vente du navigateur Chrome ou des restrictions dans l’intelligence artificielle (IA).
« C’est l’avenir de l’Internet qui est en jeu »,a solennisé,lundi 21 avril,Gail Slater,responsable du département antitrust du ministère américain de la justice,qualifiant le procès d’« historique ». « Allons-nous donner des choix aux Américains et permettre à l’innovation et à la concurrence de prospérer en ligne ? Ou allons-nous maintenir le statu quo qui favorise les monopoles des grandes entreprises technologiques ? »,a demandé celle qui représente l’accusation,comparant le monopole « écrasant » de Google à ceux,passés,de la Standard Oil dans le pétrole ou d’AT & T dans les télécommunications.
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Le déclin de l’activité du distributeur en France a été amorti par la reprise des anciens magasins Casino. Le volet social du plan de redressement annoncé en novembre 2024 prévoyant la suppression de 2 389 postes entre dans sa phase finale.
Le tribunal administratif de Toulouse examinait, mardi 18 février, le recours sur le fond déposé par les opposants contre l’autorisation environnementale de l’autoroute 69 (A69). La décision sera rendue le 27 février, alors que l’ouvrage doit entrer en service à la fin de l’année.
La suppression de cet objectif dans le code rural avait suscité un tollé lors de l’examen à l’Assemblée nationale en mai 2024 et le cap avait alors été rattrapé in extremis. Les sénateurs, eux, l’ont effacé à une large majorité.
Dans un entretien croisé au « Monde », les nutritionnistes Serge Hercberg, qui a œuvré au système d’étiquetage Nutri-Score, et Stéphane Besançon, à la tête de l’ONG Santé Diabète, appellent à lutter plus efficacement contre les pressions des industriels de l’agroalimentaire et du médicament.